J’ai l’habitude de faire courrir le chien sur les bords de l’Azergues, habituellement déserts. Mais ce Samedi n’était pas un jour ordinaire. Des dizaines et des dizaines de voitures garées dès le petit matin, les cannes sorties,
les cuissardes jusqu’à mi-taille, les pécheurs ne voulaient surtout pas rater l’ouverture de la pêche. Les semaines auparavant, les fédérations de pêche avaient procédé à l’alevinage qui consiste à repeupler la rivière avec des spécimens d’élevage.
Mais ces grandes manoeuvres n’ont pas été du goût de tout le monde. 500 mètres plus loin, traversant une prairie, deux chevreuils se hâtent de quitter l’abri familier de la ripisylve, désormais envahie. Malheureusement, pas d’appareil photo sous la main pour fixer cet instant (merci à l’association AAFF pour cette illustration).
Décidément l’ouverture de la pêche n’est pas un long fleuve tranquille.
Norbert bonjour,
1 – La barbe te va bien,
2 – Quelles belles cuissardes !!!
3 – Le chevreuil est magnifique.
Bravo pour cette retraite active et vivante.
Amicalement.
Jean-Pierre CRESSY
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bon, écoutez, je m’occupe d’environnement et je voulais vous dire de faire attention à l’alevinage; c’est quoi les bestioles que vous y mettez?
pourquoi il y a besoin d’aleviner:est ce que vous ne feriez pas mieux de lutter pour l qualité de votre eau et réduire un peu la pression de pêche?
faut voir…
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